26 juin 2016

La Maison-Blanche et l’Otan préparent le sabotage du Brexit


Si l’Union Européenne se démantèle, c’est la fin du nouvel ordre mondial. L’Union Européenne est indispensable à la création du nouvel ordre mondial quel qu’il soit.

le Brexit une menace pour les banques et l’économie mondiale : "Au moment de l’ouverture de Wall Street, la Bourse de Paris perdait 7,5%, celle de Francfort près de 7% et celle de Londres près de 4%. Et le secteur bancaire était toujours en première ligne, Deutsche Bank s’effondrant de quelque 15%, Crédit Agricole de près de 14%, BNP Paribas de quasiment 17% et Société Générale de près de 20%. "C’est clairement un très gros choc pour les marchés" et "pour le Royaume-Uni, c’est un séisme" dont les "implications vont indubitablement aller au-delà des frontières britanniques, avec un effet immédiat et potentiellement durable sur les échanges commerciaux et sur tous les actifs financiers", affirme à l’AFP Matthew Beesley, directeur actions internationales de la société de gestion britannique Henderson Global Investors" http://www.lecourriercauchois.fr/ac…

"La Fed aussi…

Outre-Atlantique, cette semaine était aussi l’occasion pour la Réserve fédérale (Fed) de se réunir. Au menu : l’évolution de la politique monétaire américaine. La Banque centrale a souhaité conserver ses taux directeurs à leurs niveaux, tout en indiquant qu’ils évolueraient néanmoins cette année.

Janet Yellen a justifié son approche prudente en matière de politique monétaire du fait du risque de sortie du Royaume-Uni de l’UE. En parallèle, la présidente de la Fed se dit toujours inquiète quant à la solidité de la croissance mondiale. Elle constate que la croissance américaine évolue à un rythme modéré, ce ralentissement lui semblant temporaire. Les prévisions de croissance ont néanmoins été revues à la baisse, soit 2 % pour 2016 (contre 2,2 % estimé précédemment). Dans ces conditions, y aura-t-il deux augmentations de taux d’ici à la fin de l’année ?

La BCE également !

Face à la menace du Brexit, la Banque centrale européenne (BCE) n’est pas en reste et s’est dite prête à intervenir s’il le fallait. Pour l’institution, en conséquence des impacts financiers d’une telle décision, un long processus de négociation serait ouvert.

Alors que tous craignent que le scénario d’une sortie du Royaume-Uni devienne réalité, envisageant le pire pour l’économie globale, les marchés oscillent, le CAC reculant même jusqu’aux 4 100 points. L’actualité de la semaine — et notamment la décision de la Fed de ne pas revoir sa politique monétaire — est totalement passée au second plan. Le Cac 40 a perdu 2,6 % cette semaine, clôturant vendredi à 4 194 points." https://www.mutex.fr/Actualites/Rev…

"Les inquiétudes relatives à la perspective de la sortie britannique de l’Union Européenne sont loin de se limiter aux frontières du Royaume-Uni, ou même celles du vieux continent. Bon nombre d’officiels, de différents états et institutions internationales, ont récemment exprimé leurs appréhensions concernant l’impact économique négatif global d’un potentiel ‘Brexit‘.

Le FMI (Fonds Monétaire International), ainsi que la Banque d’Angleterre, la Banque mondiale et le chef d’état américain ont tous affiché les mêmes craintes vis-à-vis de cette issue. Le FMI prévoit notamment que, en cas d’un Brexit, l’économie britannique « pourrait diminuer de 1% à 9% sur le long terme ». de l’autre côté du globe, le gouvernement nippon rejoint également la liste ; Haruhiko Kuroda, gouverneur de la Banque du Japon, pense que la sortie UK de l’Union Européenne « poserait de sérieux risques à l’économie mondiale ».

Ces craintes sont essentiellement motivées par la conscience de la fragilité de l’économie mondiale dans sa globalité, et plus particulièrement de la zone euro/UE qui subit, depuis trois années, des crises répétitives (Italie, Grèce, Espagne, France…). " http://www.gold.fr/news/2016/06/21/…

Pourquoi le Brexit menace le leadership mondial de Londres :

"82% des fintech britanniques souhaitent que le Royaume-Uni demeure au sein de l’Union européenne, d’après un sondage réalisé par l’association professionnelle Innovate Finance.

Mardi 26 avril, dans le cadre d’un rendez-vous hebdomadaire baptisé « Fintech Tuesday Meetup », les startups londoniennes spécialisées dans les technologies financières étaient invitées à débattre des conséquences d’un « Brexit » sur leur activité. " http://www.latribune.fr/entreprises…

En sortant de l’Union européenne, le Royaume-Uni met fin à sa « relation spéciale » avec les États-Unis. Or Londres est également membre de l’accord des « Cinq yeux » issu de la Charte de l’Atlantique et co-fondateur de l’Otan (les Britanniques partagent toutes les informations du réseau Stay behind). Laisser partir le Royaume-Uni signifie donc assister à l’écroulement de l’ensemble du système de domination anglo-saxonne sur le monde.

Le Conseil de sécurité nationale des États-Unis a mis au point un plan visant à arrimer le Royaume-Uni aux structures atlantiques. Il a été décidé de tout faire pour empêcher la nomination du leader conservateur du Brexit, Boris Johnson, à Downing Street et de favoriser une personnalité de « consensus » apte à « réconcilier » les Britanniques. Cette personnalité négocierait les modalités de la sortie de l’Union européenne. De son côté, l’Union proposerait de substituer aux accords actuels des dispositions presque identiques. À l’issue de ce processus, le Royaume-Uni aurait perdu son siège au Conseil européen, mais resterait de facto dans le Marché commun.

Le président Obama a désigné la chancelière allemande Angela Merkel pour mener les opérations au sein de l’UE et George Osborne, actuel numéro 2 du gouvernement, pour organiser le « consensus » au Royaume-Uni. D’ores et déjà, le Premier ministre David Cameron a refusé de démissionner avant l’élection présidentielle états-unienne, tandis que le gouvernement régional écossais et la presse européenne mettent en avant le risque de sécession pour justifier l’appel à une « personnalité de consensus ».

Un conseil européen a été convoqué par le président de l’Union, Donald Tusk, le 29 juin, en présence du secrétaire général de l’Otan, Jens Stoltenberg. source http://www.voltairenet.org/article1…

Le président du Bilderberg avait peur que le Brexit conduise au démantèlement de l’UE : "Henri de Castries, PDG de la société d’assurance AXA, et Président de la Conférence controversée Bilderberg, a fait part de ses craintes sur un possible démantèlement de l’UE si les Britanniques votent en faveur d’un départ de l’Union lors du référendum qui se tiendra le 23 juin prochain". https://fr.express.live/2016/06/15/…

La réunion annuelle des grands et des puissants de ce monde se déroule du 9 au 12 juin dans le Taschenbergpalais à Dresde, en Allemagne. Là, on oublie tout protocole et il est interdit de faire des reportages.

L’ancien secrétaire d’Etat des Etats-Unis Henry Kissinger, l’ex-directeur de la CIA David Petraeus, le commandant suprême des forces alliées en Europe Philip Breedlove, l’ancien chef du Secret Intelligence Service britannique (MI6) John Sawers et la directrice générale du FMI Christine Lagarde s’apprêtent à assister à la 64e réunion du club Bilderberg.

Council on Foreign Relations

Le Council on Foreign Relations (CFR) réunit plus de 4.900 membres, dont de hauts responsables, des scientifiques connus, des hommes d’affaires, des journalistes renommés, des juristes éminents et des professionnels non lucratifs, lit-on sur le site officiel de l’organisation.

Commission trilatérale

La Commission Trilatérale est une organisation privée qui fut créée en 1973 par David Rockefeller à l’initiative des principaux dirigeants du groupe Bilderberg et du Council on Foreign Relations. Elle regroupe entre 300 et 400 personnalités parmi les plus remarquées et influentes de l’Europe occidentale, des Etats-Unis et de l’Asie du Pacifique.

Groupe commercial de travail sur l’énergie

Ce groupe est une organisation influente, n’existant pourtant pas sur le Web et n’ayant aucun compte. La société opère depuis l’entreprise juridique Sutherland Asbill & Brennan et est fréquemment décrite comme un groupe d’entreprises commerciales dans le domaine de l’industrie, ou comme les plus grands consommateurs de produits énergétiques dérivés aux Etats-Unis et dans le monde… personne ne sachant pourtant qui ils sont réellement.

Source
Vu ici

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.