30 octobre 2014

L'arnaque des énergies propres

Nova Polis a eu la chance d’entrer en contact avec un biophysicien qui a longtemps travaillé pour des firmes du sud-ouest des États-Unis, spécialisées dans les énergies dites «renouvelables» ou «propres». Conscient de « la réalité subtile de la nature » depuis sa plus tendre enfance, il a finalement compris le pourquoi de l’effervescence autour de ces énergies soi-disant inoffensives pour la planète. Son constat est édifiant.

Nova Polis : Pouvez-vous nous dire quelle a été votre découverte concernant les énergies propres ?

J. S. : Depuis mon plus jeune âge, je suis préoccupé par la question de la destruction de la nature, que j’ai toujours perçue comme une attaque contre ma propre âme. Quoique ne me sentant pas d’un profil scientifique, cette préoccupation m’a incité à me spécialiser dans le domaine de la biologie et de l’écologie. J’ai fait partie des premières équipes de spécialistes qui réfléchissaient aux énergies « renouvelables », et cela sous toutes leurs formes (panneaux solaires, barrages hydroélectriques, éoliennes, etc.)

Comme beaucoup, je pensais que l’utilisation du pétrole était une aberration, et je n’étais pas plus convaincu par l’utilisation des « biocarburants », car je voyais bien que cela ne faisait qu’intensifier l’exploitation de la planète, en encourageant le développement de champs de colza gigantesques sur le globe, cela, bien sûr, au détriment des forêts, les éternelles victimes du « progrès humain ».

Mais j’ai mis longtemps à comprendre en quoi les « alternatives » étaient tout aussi néfastes pour la nature. Ma formation scientifique avait fini par m’empêcher de voir qu’il n’existe pas d’énergie neutre.

Nova Polis : Qu’entendez-vous par là?

J. S. : Je veux dire que la conception selon laquelle l’énergie est une force quantitative – qui peut se transférer, par exemple, de la chute d’un cours d’eau à une puissance électrique – est fausse. Elle n’est vraie que d’un point de vue strictement matériel.

Pour les Anciens, les éléments naturels – le Feu, l’Air, l’Eau et la Terre – n’étaient pas que des phénomènes physico-chimiques, mais ils étaient la manifestation d’êtres réels, quoique invisibles : les êtres élémentaux. Un grand nombre de légendes anciennes parlent de ces êtres – fées, nains, sylphes, etc. – car, avant que la conscience humaine ne sombre totalement dans la matière, les gens pouvaient encore les observer.

Nova Polis : Quel est l’incidence de ce fait en ce qui concerne les énergies dites renouvelables ?

J. S. : Eh bien, regardez un « parc d’éoliennes ». Pour un écologiste, il s’agit là d’une chose merveilleuse, non seulement pour sa civilisation, mais pour la nature elle-même. Pourtant un œil sensible qui a résisté à la propagande scientiste voit dans cela une horreur. En effet, outre le fait que les éoliennes détruisent le paysage, elles attaquent également les élémentaux de la nature, et plus précisément les élémentaux de l’air. L’énorme vortex formé par l’éolienne est un piège pour le sylphe. Il vise à capter sa force et à la mettre au service du monde technologique par le biais de l’électricité.

Vous avez peut-être entendu dire à quel point les oiseaux sont perturbés par la présence de ces éoliennes. C’est parce qu’ils sont profondément liés aux élémentaux de l’air, les sylphes.

Nova Polis : Vous voulez donc dire que ces nouvelles énergies ne sont pas « propres », et encore moins « libres », mais qu’elles sont le fruit de l’exploitation des élémentaux de la nature ?

J. S. : Absolument. Il s’agit d’un esclavage énergétique, qui finira par enfermer et broyer toutes les forces élémentales. Nous avons parlé des éoliennes mais le même constat pourrait être fait en ce qui concerne les barrages hydroélectriques qui captent les élémentaux de l’eau – les ondines – et les cellules photovoltaïques des panneaux solaires qui absorbent les élémentaux du feu.

Une grande offensive a été lancée contre le pétrole, avec la participation de toute une ribambelle d’écolos bien-pensants, mais cela fut fait dans le seul but d'augmenter le budget de développement des autres technologies. La conséquence finale du développement des énergies propres ne sera pas de rendre la planète propre. Par contre, la planète sera complètement vidée de toutes ces forces naturelles, qui auront été transférée dans le monde des machines.

Nova Polis : Nos propres recherches nous incitent à croire que le déploiement d’Internet a le même objectif en ce qui concerne les êtres humains : les transférer dans le monde des machines.

J. S. : Effectivement, les nouvelles technologies de l’information semblent a priori neutres, voire utiles, mais personne ne se doute que leur seule raison d’être est de transférer l’énergie vitale des hommes dans les machines. Cela a de très graves répercussions, en particulier à la mort où la conscience se trouve enfermée dans les circuits électromagnétiques. En fait, par ce biais, un nouveau monde est en train d’être créé. Sur le plan énergétique, les mondes virtuels sont réels, et ils commencent même à devenir plus réels que le monde naturel. Quant au monde naturel, il est nettoyé et le développement des sources d’énergies « propres » ne fait qu’accélérer ce processus, contrairement à ce que prétend la vision matérialiste. Car sans êtres élémentaux libres de faire leur travail, il ne reste que le désert.

Nova Polis : Selon vous, que pouvons-nous faire contre cette horreur ?

J. S. : Une guerre de conquête est en train d’être menée dans une autre dimension, le plan énergétique universel ou éthérique, il faut y participer. Certaines âmes sensibles ont réalisé depuis longtemps que le monde matériel est condamné et que les nouvelles technologies participent à le rendre obsolète.
Toutefois, les forces de la nature sont encore puissantes, et nous pouvons bénéficier de leur soutien, si nous commençons à voir au-delà de la réalité matérielle, pour percevoir la réalité subtile de l’existence. Mais cette mutation de conscience est impossible tant que nous restons isolés au sein de la prison technologique.

Il y a 40 ans, on annonçait la naissance de la conscience écologique. J’y croyais alors dur comme fer ! Mais c’était une blague de technocrates. Nous avons encore tout à apprendre sur ce qu’est fondamentalement le monde naturel.

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